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Suport technique et veille technologique

Suport technique et veille technologique

Aujourd’hui, les grandes entreprises et administrations publiques hésitent entre continuer à utiliser des logiciels propriétaires ou basculer vers les Logiciels Libres. Pourtant, la plupart des logiciels libres sont capables de bien traiter les données issues des logiciels propriétaire, et parfois avec une meilleur compatibilité.

C’est alors la barrière de la prise en main qui fait peur, et pourtant...

Les logiciels libres

L’aspect « Logiciel Libre » permet une évolution rapide et une plus grande participation des utilisateurs. Les aides et tutoriels foisonnent sur Internet ou sont directement inclus dans le logiciel lui-même.

Enfin, les concepteurs sont plus proches des utilisateurs, ce qui rend les logiciels libres plus agréable à utiliser et conviviaux.

Grâce à la disponibilité des logiciels libres, vous trouverez facilement des services de support techniques et la licence n’est plus un frein à l’utilisation de ces logiciels par votre personnel.

Notre support technique concerne essentiellement les logiciels libres, que ce soit sous forme de services ponctuels ou de tutoriels.

 

Kiddo : Activer la réduction de bruit en temps réel et l’annulation acoustique d’écho pour un microphone sous Linux avec PulseAudio (et faire croire aux gens que vous roulez en Porsche)

On se souviendra que j’avais témoigné de mon admiration pour le acoustic echo cancelling dans Empathy/Telepathy via PulseAudio il y a plusieurs années.
Or, Empathy et Telepathy sont morts et enterrés, et WebRTC a largement pris leur place (ça, on le voyait venir) avec des applications comme Jitsi Meet, BigBlueButton, et plein de sites web SaaS propriétaires.
Ce que j’avais oublié de dire en 2012, c’est que l’AEC et débruiteur peuvent également être activés de façon permanente pour toutes les (...)

 
 

DLFP - Dépêches  -  La spécification d’ODF 1.2 est terminée

 -  Mai 2011 - 

Avec pas mal de retard, puisque l'information date du 25 mars 2011, nous pouvons enfin dire que la norme de OpenDocument 1.2 est finalisée. Il semblerait qu’il reste quelques détails administratifs, mais techniquement parlant cette norme est terminée.

Il a fallu pas moins de 4 ans de travail à l’OASIS (Organization for the Advancement of Structured Information Standards — Organisation pour l’Avancée des Standards d’Information Structurée) pour finaliser cette norme. Une grande part du retard a été probablement induite par le fait que les experts sur le sujet ne sont pas très nombreux et ont dû corriger la norme Microsoft OOXML.

Rob Weir a fait une liste assez instructive des « 10 choses que vous ne savez pas sur ODF 1.2 ». Personnellement, j’ai retenu :

  • qu’il y avait eu 184 réunions ;
  • 76 membres provenant de 17 pays, représentant 23 sociétés ou organisations et 17 membres individuels, ont élaboré cette norme. Rappelons que la norme concurrente n’a été développée que par une seule entreprise, sans aucune concertation avec qui que ce soit d’autre ; d’où le fiasco final ;
  • Quasiment 15 000 e‐mails ont été envoyés sur les listes de diffusion publiques du comité de développement ;
  • La norme a été laissée en révision publique pendant 270 jours. Cela ne tient naturellement pas compte du fait que tout le développement a été ouvert ;
  • 1 800 commentaires ont trouvé réponse. Tous les commentaires ont été lus (je soupçonne que ceci est une petite référence au déroulement complètement aberrant du BRM — Ballot Resolution Meeting — de la norme concurrente).

Les changements majeurs introduits par cette norme sont relatifs aux signatures numériques et à la normalisation tant attendue (même si déjà utilisée dans plusieurs suites bureautiques différentes) de la façon de conserver les formules dans un document.

Le comité va maintenant se tourner vers le développement de la version 1.3 qui amènera, entre autres, un moyen de suivre les changements effectués dans un document, afin de faciliter le travail en collaboration sur un document.

Il existe actuellement deux propositions à ce sujet. Une, provenant de DeltaXML, dont une première version a servi de base à deux implémentations dans les suites bureautiques Koffice et Abiword, et une autre, issue de… Microsoft ! Non, vous ne rêvez pas, Microsoft semble s’impliquer dans le développement de ODF 1.3 ! Naturellement, c’est probablement pour proposer une solution maison, mais si elle est valable, utilisable et surtout portable pour tout le monde, c’est une très bonne chose. La décision se fera par le comité spécifiquement mis en place pour ce sujet.

On peut noter qu’une des conditions pour obtenir le label « norme OASIS », est d’avoir une déclaration d’au minimum trois membres déclarant que la norme fonctionne de façon interopérable. Au jour de l’annonce, il y avait IBM, Oracle, KDE et Novell qui avaient déjà fait cette déclaration.

Il n’existe pas de liste exhaustive de suites bureautiques utilisant ce format et cette version, mais nous pouvons tout de même mentionner : OpenOffice.org et son dérivé LibreOffice, Koffice et son dérivé (interne) Calligra, Abiword, IBM Lotus Symphony.

Ce format est en train de devenir la référence en tant que format bureautique, essentiellement en raison de l’impossibilité d’implémenter la norme concurrente, y compris par son concepteur qui en reste à une version personnalisée de la norme ISO/IEC IS 29500, et donc naturellement non‐interopérable, de la suite qui sert d’implémentation de référence.

par Albert_

DLFP - Dépêches

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