Aujourd’hui, les grandes entreprises et administrations publiques hésitent entre continuer à utiliser des logiciels propriétaires ou basculer vers les Logiciels Libres. Pourtant, la plupart des logiciels libres sont capables de bien traiter les données issues des logiciels propriétaire, et parfois avec une meilleur compatibilité.
C’est alors la barrière de la prise en main qui fait peur, et pourtant...
Les logiciels libres
L’aspect « Logiciel Libre » permet une évolution rapide et une plus grande participation des utilisateurs. Les aides et tutoriels foisonnent sur Internet ou sont directement inclus dans le logiciel lui-même.
Enfin, les concepteurs sont plus proches des utilisateurs, ce qui rend les logiciels libres plus agréable à utiliser et conviviaux.
Grâce à la disponibilité des logiciels libres, vous trouverez facilement des services de support techniques et la licence n’est plus un frein à l’utilisation de ces logiciels par votre personnel.
Notre support technique concerne essentiellement les logiciels libres, que ce soit sous forme de services ponctuels ou de tutoriels.
- Mai 2011 -
Firefox 5 bêta
Afin de célébrer le début de son cycle de sortie court, Firefox 5 est déjà prêt en version bêta, à peine deux mois après la sortie de Firefox 4.
Au menu :
- plus de 1 000 corrections de bogues ;
- meilleure intégration Linux ;
- meilleure prise en charge de HTML 5 ;
- animations CSS ;
- autres améliorations d’interface utilisateur.
OSQA
OSQA est un système libre de questions‐réponses communautaires, que certains définiront plus facilement par « clone libre de Stackoverflow » (ou de Shapado).
Pour la liste des gros mots, OSQA est en Python, Django, GPL.
La Mafia des droits d’auteur
Les sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) sont — une fois n’est pas coutume — épinglées par le rapport annuel de la commission permanente de contrôle des SPRD, le huitième rapport du nom.
Les relations entre les sociétés d’ayants‐droit et sociétés mixtes, ainsi que sociétés intermédiaires sont telles qu’il a fallu grapher tout cela pour y voir plus clair. Le rapport n’hésite pas à décrire cet imbroglio de « système qui n’est au service ni des artistes, ni des consommateurs. Mais de lui‐même. » Que Choisir va même jusqu’à sous‐titrer son article « Bienvenue chez les Shadocks » !