Greboca  

Suport technique et veille technologique

Suport technique et veille technologique

Aujourd’hui, les grandes entreprises et administrations publiques hésitent entre continuer à utiliser des logiciels propriétaires ou basculer vers les Logiciels Libres. Pourtant, la plupart des logiciels libres sont capables de bien traiter les données issues des logiciels propriétaire, et parfois avec une meilleur compatibilité.

C’est alors la barrière de la prise en main qui fait peur, et pourtant...

Les logiciels libres

L’aspect « Logiciel Libre » permet une évolution rapide et une plus grande participation des utilisateurs. Les aides et tutoriels foisonnent sur Internet ou sont directement inclus dans le logiciel lui-même.

Enfin, les concepteurs sont plus proches des utilisateurs, ce qui rend les logiciels libres plus agréable à utiliser et conviviaux.

Grâce à la disponibilité des logiciels libres, vous trouverez facilement des services de support techniques et la licence n’est plus un frein à l’utilisation de ces logiciels par votre personnel.

Notre support technique concerne essentiellement les logiciels libres, que ce soit sous forme de services ponctuels ou de tutoriels.

 

Kiddo : Activer la réduction de bruit en temps réel et l’annulation acoustique d’écho pour un microphone sous Linux avec PulseAudio (et faire croire aux gens que vous roulez en Porsche)

On se souviendra que j’avais témoigné de mon admiration pour le acoustic echo cancelling dans Empathy/Telepathy via PulseAudio il y a plusieurs années.
Or, Empathy et Telepathy sont morts et enterrés, et WebRTC a largement pris leur place (ça, on le voyait venir) avec des applications comme Jitsi Meet, BigBlueButton, et plein de sites web SaaS propriétaires.
Ce que j’avais oublié de dire en 2012, c’est que l’AEC et débruiteur peuvent également être activés de façon permanente pour toutes les (...)

 
 

DLFP - Dépêches  -  Linus envisage de changer la numérotation du noyau Linux

 -  Mai 2011 - 

Linus Torvalds, dictateur bienveillant et grand protecteur du noyau Linux, envisage de mettre à disposition le noyau 2.6.40 sous la dénomination 2.8.0, voire 3.0, comme suggéré par Ingo Molnar.

Depuis la sortie du noyau 2.6.0 en décembre 2003, nous avons pu assister à l’évolution de notre noyau spheniscidé tout au long de ses 40 versions successives. Toute cette évolution s’est faite en suivant un protocole bien rodé, comprenant des cycles de développement de 8 à 12 semaines.

Le cycle de développement commence avec la mise à disposition d’un noyau stable numéroté 2.6.x, suivi d’une fenêtre d’intégration de deux semaines. Cette fenêtre est l’occasion pour les développeurs de proposer tous les patches introduisant de nouvelles fonctionnalités aux différents mainteneurs du noyau.

Ensuite commence la longue route de la stabilisation. Au gré des messages attendus et parfois redoutés de ce pragmatique néo‐Américain qu’est Linus Torvalds, nous voyons apparaître environ 8 versions candidate (RC). À ce stade du développement, n’essayez pas d’introduire la moindre petite fonctionnalité ou le moindre petit pilote, ou il vous en cuira, et chacun pourra suivre sur la liste de diffusion du noyau Linux (LKML) votre admonestation par le sieur Torvalds.

Enfin, lorsque la RC semble suffisamment stable, Linus Torvalds lâche le noyau 2.6.(x + 1) dans la nature, et un nouveau cycle peut recommencer.

Mais cette fois, quelque chose de différent risque d’arriver : le nouveau noyau passera à la version 2.8 ou 3.0 ! Concrètement, quelle est la raison de ce changement de numérotation ? Quelles nouvelles fonctionnalités révolutionnaires, quel changement d’API et quelle grande réécriture du code entraîne ce passage à une version 2.8 ? Rien. Linus nous fait juste savoir dans un post scriptum, que des voix dans sa tête lui ont dit que 40, c’est grand, et donc qu’il faut passer à une version supérieure.

Néanmoins, il ne faut pas s’y tromper. Le mode de développement du noyau, qui se fait de manière progressive, pas après pas, a engendré des changements énormes depuis la 2.6.0. Donc, même si ce noyau s’inscrira dans la continuité du 2.6.39, ça permettra sans doute aussi de satisfaire notre besoin de discriminer de grandes étapes du développement linuxien, et de pouvoir s’asseoir devant son PC d’ici quelques mois en se disant « Ouah, j’utilise la nouvelle génération de noyaux Linux ! ». Et rien que ça ravira les geeks du monde entier au plus profond de leur cerveau reptilien.

par Efemero

DLFP - Dépêches

LinuxFr.org

QEMU 10.0

 -  7 mai - 

Comme tous les ans, Qemu sort une nouvelle version majeure. Le numéro n'implique donc pas de grands bouleversements. Il s'agit plutôt d'une base (...)


Kivy : un cadriciel graphique unique en Python

 -  6 mai - 

Kivy est un cadriciel (framework) graphique, permettant de développer des interfaces tactiles (ou utilisable à la souris) sur toutes les (...)


Lettre d’information XMPP de février 2025

 -  2 mai - 

N. D. T. — Ceci est une traduction de la lettre d’information publiée régulièrement par l’équipe de communication de la XSF, essayant de conserver les (...)


WoPiX, un serveur WOPI libre, indépendant, simple et léger

 -  28 avril - 

Un serveur WOPI (Web application Open Platform Interface) permet à un logiciel client de modifier un fichier stocké sur un serveur. C'est la couche (...)


Le Musée Replay en danger : appel à soutien pour préserver notre patrimoine informatique

 -  28 avril - 

Le Musée Replay (sur Bordeaux) œuvre pour la préservation du patrimoine informatique et vidéoludique. En juin, il perd son espace de stockage, ce qui (...)