Aujourd’hui, les grandes entreprises et administrations publiques hésitent entre continuer à utiliser des logiciels propriétaires ou basculer vers les Logiciels Libres. Pourtant, la plupart des logiciels libres sont capables de bien traiter les données issues des logiciels propriétaire, et parfois avec une meilleur compatibilité.
C’est alors la barrière de la prise en main qui fait peur, et pourtant...
Les logiciels libres
L’aspect « Logiciel Libre » permet une évolution rapide et une plus grande participation des utilisateurs. Les aides et tutoriels foisonnent sur Internet ou sont directement inclus dans le logiciel lui-même.
Enfin, les concepteurs sont plus proches des utilisateurs, ce qui rend les logiciels libres plus agréable à utiliser et conviviaux.
Grâce à la disponibilité des logiciels libres, vous trouverez facilement des services de support techniques et la licence n’est plus un frein à l’utilisation de ces logiciels par votre personnel.
Notre support technique concerne essentiellement les logiciels libres, que ce soit sous forme de services ponctuels ou de tutoriels.
- Juin 2014 -
Depuis plus de deux ans, cet article avait été automatiquement mis à jour
pour suivre l'allocation des adresses IPv4 et
le temps qui restait avant leur épuisement. Eh bien, c'est désormais
fait, il ne reste plus de préfixes IPv4 libres à
l'IANA.
Les chiffres et dates contenus dans cet article étaient
automatiquement mises à jour à partir de la liste
officielle des allocations. Le nombre d'adresses
IPv4 étant une ressource finie et non
renouvelable, l'épuisement futur ne faisait aucun doute (même si quelques
négationnistes arrivaient à nier ce fait). La dernière adresse
IPv4 ayant été allouée par l'IANA, il faut, ou bien arrêter toute croissance de
l'Internet, ou bien passer à
IPv6, comme cela aurait dû être fait depuis
longtemps. Une autre « solution » sera d'accepter un Internet limité,
où les clients résidentiels, puis les petites entreprises et les
associations, n'auront plus d'adresses IP publique du tout et devront
passer des bricolages comme le NAT, qui
limitent le nombre de services auxquels ils auront accès (par exemple
le pair-à-pair).
Il reste certes un tout petit peu de temps avant que l'épuisement des adresses
v4 ne touche
tout le monde. Les RIR ont reçu des préfixes de l'IANA qui n'ont
pas été épuisés tout de suite. Chaque RIR avait encore un à deux
ans de réserve, avant de ne plus pouvoir rien donner aux FAI. Le
premier à tomber à cours a été l'APNIC, le
15
avril 2011. Le RIPE-NCC a suivi le 14
septembre 2012 puis se furent ARIN en avril 2014
et LacNIC en juin 2014. Aujourd'hui, seul AfriNIC a encore sa réserve normale d'adresses IPv4. Notez que chaque RIR garde en réserve un /8
spécial, pour être attribué selon une politique très restrictive
(c'est donc déjà le cas de tous les RIR sauf un). Ensuite, ce seront les FAI qui ne pourront
plus rien donner aux clients. Bref, on peut avoir l'illusion que la
pénurie n'existe pas encore vraiment mais il faut pour cela fermer
très fort les yeux et avoir un optimisme en béton.
Pour faire des statistiques sur ce nouvel épuisement (celui des
réserves des RIR), je manque de temps mais on peut regarder :