Aujourd’hui, les grandes entreprises et administrations publiques hésitent entre continuer à utiliser des logiciels propriétaires ou basculer vers les Logiciels Libres. Pourtant, la plupart des logiciels libres sont capables de bien traiter les données issues des logiciels propriétaire, et parfois avec une meilleur compatibilité.
C’est alors la barrière de la prise en main qui fait peur, et pourtant...
Les logiciels libres
L’aspect « Logiciel Libre » permet une évolution rapide et une plus grande participation des utilisateurs. Les aides et tutoriels foisonnent sur Internet ou sont directement inclus dans le logiciel lui-même.
Enfin, les concepteurs sont plus proches des utilisateurs, ce qui rend les logiciels libres plus agréable à utiliser et conviviaux.
Grâce à la disponibilité des logiciels libres, vous trouverez facilement des services de support techniques et la licence n’est plus un frein à l’utilisation de ces logiciels par votre personnel.
Notre support technique concerne essentiellement les logiciels libres, que ce soit sous forme de services ponctuels ou de tutoriels.
- Juin 2015 -
Après le Sénat le 23 juin, l'Assemblée nationale a adopté définitivement le 24 juin 2015 le projet de loi renseignement, entérinant ainsi la surveillance de masse. L'April regrette que l'adoption se soit faite à une large majorité malgré les dangers du texte, qui plus est au moment des révélations de l'espionnage américain dont ont été victimes les trois présidents de la République en fonction de 2006 à 2012.
L'April s'était opposée au projet de loi et avait appelé à agir contre la surveillance de masse. Cependant, et malgré la mobilisation citoyenne, le Sénat et l'Assemblée nationale ont adopté le texte à une très large majorité. Cela est d'autant plus paradoxal qu'au même moment, Libération et Mediapart révélaient que les présidents français, ainsi que de nombreux services de l'État, avaient été espionnés par les États-Unis ces dernières années. Mais la découverte de cette surveillance de certains n'a pas empêché les parlementaires de voter la surveillance de tous.
Le Conseil constitutionnel doit désormais se prononcer sur la constitutionnalité du texte et sur sa validité face au respect de nos libertés fondamentales. La Quadrature du Net, French Data Network et la Fédération FDN ont déposé un mémoire citoyen récapitulant les dangers du texte pour nos libertés.