Aujourd’hui, les grandes entreprises et administrations publiques hésitent entre continuer à utiliser des logiciels propriétaires ou basculer vers les Logiciels Libres. Pourtant, la plupart des logiciels libres sont capables de bien traiter les données issues des logiciels propriétaire, et parfois avec une meilleur compatibilité.
C’est alors la barrière de la prise en main qui fait peur, et pourtant...
Les logiciels libres
L’aspect « Logiciel Libre » permet une évolution rapide et une plus grande participation des utilisateurs. Les aides et tutoriels foisonnent sur Internet ou sont directement inclus dans le logiciel lui-même.
Enfin, les concepteurs sont plus proches des utilisateurs, ce qui rend les logiciels libres plus agréable à utiliser et conviviaux.
Grâce à la disponibilité des logiciels libres, vous trouverez facilement des services de support techniques et la licence n’est plus un frein à l’utilisation de ces logiciels par votre personnel.
Notre support technique concerne essentiellement les logiciels libres, que ce soit sous forme de services ponctuels ou de tutoriels.
- Avril 2018 -
À la veille d'une réunion du Conseil de l'Union européenne, plus de 145
organisations appellent les ambassadeurs des États membres de l'Union
européenne à ne pas précipiter le débat sur la réforme du droit d'auteur
et de ne pas donner à la présidence bulgare un mandat pour négocier avec
le Parlement européen sur la base d'un texte contenant de graves reculs
pour les libertés. L'April fait partie des organisations françaises signataires de cette
lettre ouverte.
Dans la lettre ouverte adressée au Conseil les organisations répètent et amplifient les voix exprimées précédemment
pour exposer leurs profondes préoccupations face au sentiment artificiel
d'urgence créé par la présidence bulgare.
L'article 13 de l'actuel projet de réforme du droit d'auteur fait en
particulier peser des risques sur le logiciel libre et ses
communautés. Cet article imposerait aux hébergeurs de contenus, comme
les forges logicielles, de mettre en place un filtrage automatique des
contenus, par exemple du code mis en ligne par leurs utilisateurs et
utilisatrices. Lire à ce sujet les explications de l'eurodéputée Julia Reda.
Face à ces risques, l'April appelle à signer la lettre ouverte « Sauvons le partage de code ».